De l’empathie pour la Terre

Repenser notre relation à la Terre.

De la cellule, au plus petit organisme, du végétal, à l’animal - humain et non humain - aux éléments qui s’activent et s’expriment, ce cosmos est définitivement vivant.

Le fait d’être vivant constitue le dénominateur commun à l’ensemble des êtres.

Nous pouvons nous relier et ressentir cette relation de réciprocité.

Tous les êtres partagent un véritable intérêt à vivre.

La Terre, méga-organisme, constituée de tous ces êtres et relations en jeu, requière aujourd’hui un peu de notre attention. Car si nous n’avons pas encore intégré le fait d’en être partie constituante, peut-être au moins pourrions-nous considérer que nous en sommes dépendants.

Entrer en relation intime avec ses propres ressentis et ses émotions permet d’entrer en résonance avec ce qui nous relie fondamentalement au règne vivant, à notre intérêt commun à rester vivant et à expérimenter le fait d’Être.

Tout simplement. Fondamentalement.

Car en chacune de nos cellules, chaque torrent, chacun mouvement, tout est là, partout, le même. L’essence d’être vivant.

De l’empathie pour la Terre.

De l’affection pour la vie.

«L’une des profondes limitations de l’objectivité scientifique traditionnelle est son incapacité à décrire le besoin de justice sociale, d’une économie plus équitable ou d’un climat propice à la vie.» Andreas Weber