Responsabilité est le premier terme qui me vient en tête lorsque je pense au leadership. Prendre acte «là où on est», peu importe sa position et tenter assidument et inlassablement d’avancer dans la direction porteuse du bien commun.
Bien entendu, la question du «bien commun» demeure entière et c’est là que la couleur «éthique» de la chose prend forme. Car, pour que ce «bien» soit réellement commun, il faudra consulter, écouter, accueillir les divergences d’opinion, se mettre en posture d’objectivité par rapport à ses intérêts personnels et toujours remettre en cause la légitimé du consensus normatif.
En cela, le leader éthique est non conformiste.