On peut s’entourer à souhait, interagir autant que l’on veut, il reste que nos moments de grâce, de doutes extrêmes, nos sensations les plus privées sont vécues dans l’intimité de notre Être, et ni les mots, ni les gestes ne peuvent communiquer intégralement ce qui nous traverse. Persiste un fossé.
Et puis, on meurt seul, la belle affaire! :)
Ce sera en fait notre moment d’autonomie la plus complète.
Certains pourraient trouver le sujet déprimant, je le trouve plutôt éclairant.